1ère circonscription : débat sur France Bleu Isère

Jeudi 24 Mai, j'étais opposé sur France Bleu Isère à mes principaux concurrents sur la 1ère circonscription. Atmosphère lourde pour un débat de facture classique où mes concurrents se sont, comme les fois précédentes, appropriés les réalisations présentes ou passées de l'agglomération grenobloise. Ainsi a t'on entendu certains élus se vanter d'avoir créé plusieurs milliers d'emplois, ou implanté telle entreprise ou centre de recherche. Comme si les politiques créaient les emplois à la place des entreprises... Chacun s'est bien entendu approprié également le bilan des gouvernements passés ou à venir, selon son étiquette politique.
De projet, de vision d'avenir, d'éthique, je n'en ai pas entendu parler. Un peu plus de modestie et de prospective auraient sans doute permis un débat plus serein, et surtout plus intéressant pour les auditeurs.
Ca sentait davantage la fin d'une époque que le début d'une ère nouvelle.
Ecouter le débat

Comments

[Rédigé par : Didier MEDORI]

NON à CARIGNON - Contre le retour du ripou en politique

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Qui est Carignon, Le système Carignon,
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Le 10 juin 2007, vous ne pourrez pas dire : Je ne savais pas !

[Rédigé par : Julia]

Les fautes d'orthographe, pour un candidats aux élections législatives, c'est pas très sérieux.
Sachez qu'il n'y a pas de "E" à France Bleu Isère!
Sinon j'ai écouté le débat et trouvé l'attitude de Carignon déplorable! J'espère qu'il n'y aura pas d'alliance entre vous et lui au 2ème tour ce serait une honte pour le Modem et pour la démocratie!

[Rédigé par : Philippe de LONGEVIALLE]

@ Julia
Autant pour moi. Il y a eu une erreur. J'ai fait une liaison (naturelle au demeurant) entre France et bleu(e) qui n'avait pas lieu d'être car c'est un nom propre.
Mais je ne suis pas le seul à faire des fautes, vous avez écrit "un candidats" avec un s. Cela arrive à tout le monde.
Sur le fond, l'UDF/MODEM a toujours su choisir ses alliés et ses candidats en toute "éthique". Ce n'est pas le cas de tous les partis.
N'ayez donc aucune inquiétude à notre égard.
Philippe de LONGEVIALLE